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Sénégal/ Gouvernance dans le secteur de la sécurité : La société civile et les institutions sénégalaises à l’école des États-Unis

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L’Institut des États-Unis pour la paix (USIP) et son partenaire WANEP, ont organisé du 24 au 26 avril 2024, une formation sur la gouvernance du secteur de la sécurité à l’intention des acteurs de la société civile et des institutions publiques afin d’améliorer leur implication effective dans les politiques sécuritaires du pays.

Par Massaër DIA, Sénégal

Cette formation s’inscrit dans le cadre du programme du dialogue sur la justice et la Sécurité, initié en 20216 au Sénégal par l’Institut des États-Unis pour la paix (USIP), avec l’appui de INL. Ledit programme vise à améliorer la sécurité à travers le renforcement des relations entre les services de sécurité civile et les personnes qu’ils servent.

Une étude sur la gouvernance du secteur de la sécurité a permis d’identifier les besoins en renforcement des capacités des acteurs civils, pour l’amélioration de leur implication dans la gouvernance du secteur de la sécurité et de la paix. À l’issue d’un atelier de présentation des résultats de l’étude tenu le 14 janvier 2024, l’une des recommandations principales a été de renforcer les capacités des acteurs des institutions non sécuritaires et de la société civile sur la participation citoyenne dans la gouvernance citoyenne dans la gouvernance du secteur de la sécurité et de la paix.

Ce présent atelier a pour objectif la formation des organisations de la société civile et des Institutions sur la gouvernance du secteur de la sécurité et la participation citoyenne dans la gouvernance du secteur de la sécurité au Sénégal. Il vise également à améliorer les connaissances des acteurs sur les principes de la bonne gouvernance du secteur de la sécurité avoir une meilleure compréhension de la participation citoyenne dans la gouvernance du secteur de la sécurité et par excellence, de la paix.

L’honorable Nicolas Ndiaye, Député à l’Assemblée nationale, président de la commission défense et sécurité a estimé que la paix ne se fait pas seul. D’où la nécessité de cet atelier qui rassemble divers acteurs et représentants de communautés.

Le Chargé de projets séniors au niveau de l’institut des États-Unis pour la paix, Boucar Baba Ndiaye a estimé que c’est un paradigme de sécurité collaborative et une logique de mettre en place, un cadre au niveau national de sécurité collaborative pour avoir une meilleure gestion de la sécurité collaborative, donc la participation citoyenne.

Massaër DIA

(Afrik Management/ Avril 2024)

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